• A toi qui n'a jamais eu de nom

    A mes excuses que tu connais par coeur
    A ma mélancolie qui te rend léthargique
    A cette moitié de moi, ce deuxième coeur
    Aux couleurs que tu met dans ma musique

    Si je t'ai ingnoré si longtemps
    je Savais pourtant que ton âme,
    Affutée comme l'est une lame,
    Mettait mon esprit à feu et à sang

    A tes passions qui vivent en moi
    A ta mémoire qui m'empêche de me souvenir
    A ces images qui attisent mes émois
    Aux odeurs que tu me fais sentir

    Si j'ai nié ton existance, pardonne-moi
    Partagée entre stupeur et effroi,
    En mon tréfond je savais
    Qu'un soir de juillet, je t'avais tué

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