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Par petitiris le 27 Juin 2007 à 09:30Comme l'ombre qui suit la course du soleil... comme les vagues qui s'échouent inévitablement sur le rivage... Le temps s'écoule, seconde après seconde, laissant sa trace en notre mémoire. Mais il est des secondes qui durent l'éternité de la souffrance qu'elles nous affligent... et d'autres dont l'importance même nous semble si insignifiante que seul celle d'après compte.
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Par petitiris le 25 Juin 2007 à 18:40La fin de toute chose a un début...
Même précédé d'à peine quelques secondes, chaque fin a son épilogue.
Nul instant ne se termine s'il n'a pas commencé un jour et personne ne meurt sans avoir vécu avant.
C'est pour cela que la douleur nous envahit à chaque deuil et que chaque perte, quelle qu'elle soit, mérite son deuil.
Chaque choix à une histoire...
Même précédé d'à peine quelques secondes, chaque choix a son récit.
Nul aveux n'est prononcé sans réflexion.
C'est pour cela que le doute nous fait souvent repousser nos décisions et que chaque choix, quel qu'il soit, mérite sa réflexion.
Faire le deuil des choses avec anticipation est parfois une façon en soi de faire un choix ...
L'équation n'est pas exposée car il en existe autant qu'il existe d'humains sur cette planète.
... tout homme a son calcul propre à chaque situation et la combinaison est infinie !!
Mais l'homme ne calcule pas, il réagit....
.... Et souvent la passivité latente de son incapacité à faire son choix repousse l'échéance et rend le choix si difficile et incompréhensible que, lorsqu'il se décide, la violence du choc met tout un monde à terre !!
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Par petitiris le 23 Juin 2007 à 16:05Parce qu'il est des paroles dont on n'est pas fier de la paternité...
Parce que parfois l'ombre portée au crédit de notre part de soleil n'est que la face cachée de l'astre qui nous constitue.
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Par petitiris le 20 Juin 2007 à 18:08
Et pourtant mes yeux s'y posent toujours
Mon regard s'y perd encore
Malgrès le levé du jour
Ne crois pas que je m'en sors
Arrêt sur une image magnétique
Comme un goût de réthorique
Et pourtant... je sais
De quoi ce paysage est fait
Mais sous les décombres je vois
Les guerres de pouvoir d'autrefois
Et le dernier soupir du soldat
Raisonne encore en moi
Comme le souffle d'un zéphyr
Qui sait qu'il va mourir
Car de ses cendres tièdes
Trop de fois il a enfanté
Et vient l'heure où il cède
A la fois soulagé et hanté
Par le vide que laissera
Son passage a trépas
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Par petitiris le 6 Juin 2007 à 20:09
Libertée retrouvée!!! Firewall aux oubliettes!!
..... reste à espérer qu'un voisin installe un we-fi non protégé!!!!
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