• Comme l'ombre qui suit la course du soleil... comme les vagues qui s'échouent inévitablement sur le rivage... Le temps s'écoule, seconde après seconde, laissant sa trace en notre mémoire. Mais il est des secondes qui durent l'éternité de la souffrance qu'elles nous affligent... et d'autres dont l'importance même nous semble si insignifiante que seul celle d'après compte.

    1 commentaire
  • La fin de toute chose a un début...
    Même précédé d'à peine quelques secondes, chaque fin a son épilogue.

    Nul instant ne se termine s'il n'a pas commencé un jour et personne ne meurt sans avoir vécu avant.

    C'est pour cela que la douleur nous envahit à chaque deuil et que chaque perte, quelle qu'elle soit, mérite son deuil.


    Chaque choix à une histoire...
    Même précédé d'à peine quelques secondes, chaque choix a son récit.

    Nul aveux n'est prononcé sans réflexion.

    C'est pour cela que le doute nous fait souvent repousser nos décisions et que chaque choix, quel qu'il soit, mérite sa réflexion.


    Faire le deuil des choses avec anticipation est parfois une façon en soi de faire un choix ...

    L'équation n'est pas exposée car il en existe autant qu'il existe d'humains sur cette planète.

    ... tout homme a son calcul propre à chaque situation et la combinaison est infinie !!

    Mais l'homme ne calcule pas, il réagit....
    .... Et souvent la passivité latente de son incapacité à faire son choix repousse l'échéance et rend le choix si difficile et incompréhensible que, lorsqu'il se décide, la violence du choc met tout un monde à terre !!

    1 commentaire
  • ...

    Parce qu'il est des paroles dont on n'est pas fier de la paternité...
    Parce que parfois l'ombre portée au crédit de notre part de soleil n'est que la face cachée de l'astre qui nous constitue.

    votre commentaire
  • Et pourtant mes yeux s'y posent toujours
    Mon regard s'y perd encore
    Malgrès le levé du jour
    Ne crois pas que je m'en sors

    Arrêt sur une image magnétique
    Comme un goût de réthorique
    Et pourtant... je sais
    De quoi ce paysage est fait

    Mais sous les décombres je vois
    Les guerres de pouvoir d'autrefois
    Et le dernier soupir du soldat
    Raisonne encore en moi

    Comme le souffle d'un zéphyr
    Qui sait qu'il va mourir
    Car de ses cendres tièdes
    Trop de fois il a enfanté

    Et vient l'heure où il cède
    A la fois soulagé et hanté
    Par le vide que laissera
    Son passage a trépas


    1 commentaire
  • Libertée retrouvée!!! Firewall aux oubliettes!!

     

    ..... reste à espérer qu'un voisin installe un we-fi non protégé!!!!


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique