Il y'a comme un plaisir à cette douce léthargie qui m'envahit. Me laisser glisser vers ce sommeil éveillé où mon esprit peut vagabonder sans entrave entre la réalité et ce monde onirique... il s'ouvre à moi un monde détachée de mon passée, plus beau que mon présent et plus prometteur que mon futur. J'attend... je ne sais pas ce que j'attend après tout! Mais ce que je sais c'est que, dans l'anti-chambre de ce pourquoi j'attend il y'a d'autres âmes, d'autres attentes et d'autres mondes oniriques. JE PREFERE FUIR DANS UNE SECONDE REALITE QUE FONCER DROIT DANS LE MUR DE CELLE QU'ON M'OBLIGE A VIVRE.